La bonne epouse
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La bonne epouse
(أستمع إلى هذه القصة العجيبة ) كان الرسول صلى الله عليه وسلم يجلس وسط أصحابه عندما دخل شاب يتيم إلى الرسول يشكو إليه قال الشاب ( يا رسول الله ، كنت أقوم بعمل سور حول بستاني فقطع طريق البناء نخله هي لجاري طلبت منه ان يتركها لي لكي يستقيم السور ، فرفض ، طلبت منه إن يبيعني إياها فرفض ) فطلب الرسول ان يأتوه بالجار أتى الجار الى الرسول وقص عليه الرسول شكوى الشاب اليتيم فصدق الرجل على كلام الرسول فسأله الرسول ان يترك له النخله او يبيعها له فرفض الرجل فأعاد الرسول قوله ( بع له النخله ولك نخله في الجنه يسير الراكب في ظلها مائه عام ) فذهل اصحاب رسول الله من العرض المغري جدا جدا فمن يدخل النار وله نخله كهذه في الجنه وما الذي تساويه نخله في الدنيا مقابل نخله في الجنه لكن الرجل رفض مرة اخرى طمعا في متاع الدنيا فتدخل احد اصحاب الرسول ويدعى ابا الدحداح فقال للرسول الكريم أأن اشتريت تلك النخله وتركتها للشاب الى نخله في الجنه يارسول الله ؟ فأجاب الرسول نعم فقال ابا الدحداح للرجل أتعرف بستاني يا هذا ؟ فقال الرجل ، نعم ، فمن في المدينه لا يعرف بستان ابا الدحداح ذو الستمائه نخله والقصر المنيف والبئر العذب والسور الشاهق حوله فكل تجار المدينه يطمعون في تمر ابا الدحداح من شده جودته فقال ابا الدحداح ، بعني نخلتك مقابل بستاني وقصري وبئري وحائطي فنظر الرجل الى الرسول غير مصدق ما يسمعه ايعقل ان يقايض ستمائه نخله من نخيل ابا الدحداح مقابل نخله واحده فيا لها من صفقه ناجحه بكل المقاييس فوافق الرجل واشهد الرسول الكريم (صلى الله عليه وسلم) والصحابه على البيع وتمت البيعه فنظر ابا الدحداح الى رسول الله سعيدا سائلا (أ لى نخله في الجنه يارسول الله ؟) فقال الرسول (لا ) فبهت ابا الدحداح من رد رسول الله فأستكمل الرسول قائلا ما معناه (الله عرض نخله مقابل نخله في الجنه وانت زايدت على كرم الله ببستانك كله ، ورد الله على كرمك وهو الكريم ذو الجود بأن جعل لك في الجنه بساتين من نخيل اعجز على عدها من كثرتها وقال الرسول الكريم ( كم من مداح الى ابا الدحداح ) (( والمداح هنا – هي النخيل المثقله من كثرة التمر عليها )) وظل الرسول يكرر جملته اكثر من مرة لدرجه ان الصحابه تعجبوا من كثرة النخيل التي يصفها الرسول لابا الدحداح وتمنى كل منهم لو كان ابا الدحداح وعندما عاد الرجل الى امرأته ، دعاها الى خارج المنزل وقال لها (لقد بعت البستان والقصر والبئر والحائط ) فتهللت الزوجه من الخبر فهي تعرف خبرة زوجها في التجاره وشطارته وسألت عن الثمن فقال لها (لقد بعتها بنخله في الجنه يسير الراكب في ظلها مائه عام ) فردت عليه متهلله (ربح البيع ابا الدحداح – ربح البيع ) فمن منا يقايض دنياه بالاخرة ومن منا مستعد للتفريط في ثروته او منزله او سيارته مقابل الجنه ارجو ان تكون القصه عبرة لكل من يقرأها فالدنيا لا تساوي ان تحزن او تقنط من مشاكلها او يرتفع ضغط دمك من همومها فما عندك زائل وما عند الله باق
ABOU KHALED- Membre Hyper Actif
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Re: La bonne epouse
Traduction
Un jeune orphelin vint voir le prophète Sala Allah Alayhi Wa Salam, qui était assis avec ses compagnons, se plaignant de son voisin, il dit : Oh messager d’Allah, j’étais entrain de construire un mur autour de mon jardin, mais un palmier qui appartenait a mon voisin me pausa obstacle, alors j’ai demandé à mon voisin de me le cédé afin que je construise au mieux le mur, mais il refusa, alors j’ai proposé de le lui acheté, et il refusa encore. Le prophète demanda a voir le voisin, quant il vint, le prophète lui exposa la version du jeune orphelin et le voisin confirma avoir refuser de vendre et moins de cédé son palmier, alors le prophète demanda a ce qu’il cède ou bien vende le palmier au jeune homme, mais l’homme refusa encore. Alors le prophète demanda à l’homme de vendre son palmier au jeune homme et en échange il aura un palmier au paradis si grand que un cavalier chevauchant son chevale marchera cent ans dans son ombre. Alors les compagnons du prophète s’étonnèrent de cet offre, mais l’homme refusa de nouveau, alors un compagnon du prophète nommé Abou Adahdah demanda au prophète que si il achetait le palmier et l’offrait au jeune homme est-ce qu’il aura le palmier du paradis. Le prophete confirma. Alors Abou Addahdah dit à l’homme/ est-ce que tu connais mon jardin ? L’homme réponde : bien sur, et qui ne connaît pas le jardin d’Abou Adahdah au six cent palmier, au palais luxueux, au puits à l’eau douce et au remparts très hauts, et qui des commerçants de la Médine ne souhaite pas posséder ses dates de qualité si bonne. Alors Abou Addahdah dit : vends moi ton palmier pour les miens en plus de mon palais, de mon puits et de mes remparts. L’homme ne crut pas ce qu’il vient d’entendre, c’était l’occasion à ne pas rater, il accepta et fit témoigner le prophète de leur transaction, alors Abou Addahdah demanda au prophete si il aura le palmier du paradis. Le prophete dit : non, alors Abou Addahdah s’étonna de cette réponse, mais le prophète continua ses paroles et dit : Allah a proposé un palmier pour un palmier au paradis, mais toi t’as ajouté plus que sa générosité en proposant tout ton jardin, alors Allah a répondu à ta générosité et c’est lui le plus généreux en t’offrant des jardins au paradis que j’arrive pas a compter vu leurs nombre. Ensuite le prophète dis : combien de Maddah pour Abou Addahdah, et le Madah ici signifie le palmier alourdi vu la quantité de date qu’il produit. Et le prophète répéta cette phrase plusieurs fois que même ces compagnons s’étonnèrent du nombre des palmiers que le prophète décrivait à Abou Addahdah, et ils ont tous souhaité être à la place d’Abou Addahdah. Et quant Abou Addahdah vint à la maison, il demanda à sa femme de sortir et lui dit : j’ai tout vendu, alors l’épouse, sachant la futé de son marie au commerce, se mettait contente, puis elle demanda le prix. Abou Addahdah dit : je vendu le tout pour un palmier au paradis si grand que un cavalier chevauchant son chevale marchera cent ans dans son ombre.
Alors l’épouse dit : t’as gagné Abou Dahhdah ! T’as gagné !
Un jeune orphelin vint voir le prophète Sala Allah Alayhi Wa Salam, qui était assis avec ses compagnons, se plaignant de son voisin, il dit : Oh messager d’Allah, j’étais entrain de construire un mur autour de mon jardin, mais un palmier qui appartenait a mon voisin me pausa obstacle, alors j’ai demandé à mon voisin de me le cédé afin que je construise au mieux le mur, mais il refusa, alors j’ai proposé de le lui acheté, et il refusa encore. Le prophète demanda a voir le voisin, quant il vint, le prophète lui exposa la version du jeune orphelin et le voisin confirma avoir refuser de vendre et moins de cédé son palmier, alors le prophète demanda a ce qu’il cède ou bien vende le palmier au jeune homme, mais l’homme refusa encore. Alors le prophète demanda à l’homme de vendre son palmier au jeune homme et en échange il aura un palmier au paradis si grand que un cavalier chevauchant son chevale marchera cent ans dans son ombre. Alors les compagnons du prophète s’étonnèrent de cet offre, mais l’homme refusa de nouveau, alors un compagnon du prophète nommé Abou Adahdah demanda au prophète que si il achetait le palmier et l’offrait au jeune homme est-ce qu’il aura le palmier du paradis. Le prophete confirma. Alors Abou Addahdah dit à l’homme/ est-ce que tu connais mon jardin ? L’homme réponde : bien sur, et qui ne connaît pas le jardin d’Abou Adahdah au six cent palmier, au palais luxueux, au puits à l’eau douce et au remparts très hauts, et qui des commerçants de la Médine ne souhaite pas posséder ses dates de qualité si bonne. Alors Abou Addahdah dit : vends moi ton palmier pour les miens en plus de mon palais, de mon puits et de mes remparts. L’homme ne crut pas ce qu’il vient d’entendre, c’était l’occasion à ne pas rater, il accepta et fit témoigner le prophète de leur transaction, alors Abou Addahdah demanda au prophete si il aura le palmier du paradis. Le prophete dit : non, alors Abou Addahdah s’étonna de cette réponse, mais le prophète continua ses paroles et dit : Allah a proposé un palmier pour un palmier au paradis, mais toi t’as ajouté plus que sa générosité en proposant tout ton jardin, alors Allah a répondu à ta générosité et c’est lui le plus généreux en t’offrant des jardins au paradis que j’arrive pas a compter vu leurs nombre. Ensuite le prophète dis : combien de Maddah pour Abou Addahdah, et le Madah ici signifie le palmier alourdi vu la quantité de date qu’il produit. Et le prophète répéta cette phrase plusieurs fois que même ces compagnons s’étonnèrent du nombre des palmiers que le prophète décrivait à Abou Addahdah, et ils ont tous souhaité être à la place d’Abou Addahdah. Et quant Abou Addahdah vint à la maison, il demanda à sa femme de sortir et lui dit : j’ai tout vendu, alors l’épouse, sachant la futé de son marie au commerce, se mettait contente, puis elle demanda le prix. Abou Addahdah dit : je vendu le tout pour un palmier au paradis si grand que un cavalier chevauchant son chevale marchera cent ans dans son ombre.
Alors l’épouse dit : t’as gagné Abou Dahhdah ! T’as gagné !
hichham- Marhaban Beek
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